Pour maintenir le lien entre Recherche – Entreprises – Territoire, sur des sujets scientifiques très pointus et novateurs.
La Fondation de l’USMB propose un accès gratuit sur inscription à ces webinaires accessibles à tous, entreprises, étudiants, enseignants-chercheurs, collectivités, acteurs du développement économique !
Les «Webinnov» alimentent les réflexions, participent à l’ébauche de solutions et contribuent a la diffusion des connaissances et la valorisation de la recherche.
Jeudi 14 janvier 2021 – 17h à 18h – en ligne
WEBINNOV #5 : “La mobilité transfrontalière… si on en parlait ?!”
Une heure interactive au service de la mobilité transfrontalière pour dépoussiérer les idées reçues !
Au programme :
Seront abordées, dans le cadre franco-suisse lémanique, les évolutions de ces mobilités depuis un demi-siècle, leurs diverses modalités en termes de mobilités quotidiennes et touristiques, leurs gestions et quelques perspectives, en soulevant les problèmes engendrés.
Intervenants :
Un webinaire en lien avec la Chaire Mobilité.
Jeudi 12 novembre 2020 – 17h à 18h – en ligne
WEBINNOV #4 : Économie Environnementale.
Au programme :
Introduction à l’économie environnementale, suivit d’une restitution de l’enquête « Entreprises locales et enjeux environnementaux « . Une étude faite auprès des entreprises du territoire, sur la manière dont elles appréhendent (ou non) les enjeux de la transition environnementale. Une enquête conçue comme le point de départ de l’élaboration d’un programme scientifique de recherche.
Intervenantes :
En lien avec la Chaire C2E initiée par Grand Annecy et la Fondation Université Savoie Mont Blanc.
Au-delà d’un anglicisme pour « économie de l’environnement » qui s’intéresse aux interactions entre l’économie et l’environnement (mesure et prise en compte des effets de l’économie sur l’environnement, mesure et prise en compte des effets de l’environnement sur l’économie)
…une dénomination qui interpelle et suggère une nouvelle approche de l’économie, une nouvelle grille de lecture, « par » l’environnement.
L’hydrogène permet notamment de valoriser les surplus d’électricité générée de façon renouvelable, en la stockant. Le surplus est transformé en hydrogène via de l’électrolyse puis être transformé en gaz grâce à la méthanation (voir l’explication du CEA).
S’il était possible (techniquement et politiquement, notamment) d’affecter au CO2 un coût correspondant aux dommages qu’il occasionne,
il n’y aurait plus de problème de changement climatique.
Voir les appels américains et européens sur le sujet.
Cela serait souhaitable, mais il y a un problème de coordination entre les pays. Une taxe aux frontières – l’une des priorités de l’agenda politique
de la Commission européenne – peut être une bonne incitation pour que tous les pays s’alignent.
En comparant la valeur du carbone avec le coût d’abattement -surcoût de réduire les émissions de une unité, ce qui est potentiellement assez compliqué à calculer compte tenu de la dynamique, des actifs échoués, du progrès technique etc., il est possible de décider si un investissement isolé est souhaitable du point de vue de la transition climatique mais aussi de comparer les investissements entre eux (https://www.strategie.gouv.fr/publications/de-laction-climat).
Le solutions sur l’étagère sont principalement celles de grands acteurs du domaine. On citera le framework Tensorflow géré par Google, PyTorch côté Facebook et la suite logicielle de NVIDIA associée à son matériel. D’autres acteurs comme STMicroelectronics proposent des solutions adaptées à leurs propres processeurs. Ces frameworks sont opensource pour partie et sont non seulement créés avec des ressources d’ingénierie et recherche interne impressionnantes mais sont également complétés quasiment en temps réel par des codes directement issus de la recherche. Ces derniers sont, pour certains repris et intégrés par les équipes gérantes.
D’autres acteurs plus discrets tentent de s’écarter de l’emprise des GAFA mais la quantité de travail à réaliser est très importante (non seulement sur la partie calcul mais aussi sur la partie interface de monitoring des expériences) et il est difficile de rivaliser en terme de flexibilité et robustesse des frameworks ainsi qu’en terme de rapidité des calculs en apprentissage/inférence.
Les solutions propriétaires que je connais sont des versions avancées des produits gérés par les grands acteurs pour leur propre usage (Google, Facebook, NVIDIA), ces fonctionnalités étant généralement rapidement basculées en opensource une fois leurs publications acceptées. On observe un changement de paradigme, beaucoup d’acteurs valorisent leurs travaux en s’investissant en opensource pour gagner des part sde marché.
Matlab propose ses solutions. De nos premières observations, le temps de développement pour les utilisateurs est maintenu réduit mais les temps de calculs ne sont pas optimaux.
Le constructeur NVIDIA est actuellement le mieux implanté côté GPU. Les GPU NVIDIA sont associés à des bibliothèque dédiées à l’apprentissage profond maximisant l’usage de ces GPU (les outils CUDA et la bibliothèse cudnn). Ces outils sont très bien intégrés aux frameworks des grands acteurs (Tensorflow et PyTorch). Cependant nous avons noté l’intéret d’associer les GPU Nvidia à des CPU AMD proposant de nombreux coeurs logiques très efficaces sur les problématiques DeepLearning ».
Jeudi 17 septembre 2020 – 17h
WEBINNOV #3 : “Intelligence artificielle : applications & technologies”
La Fondation USMB avec le LAPP et le LISTIC, les acteurs clés du projet IDEFICS, nous ont proposé une immersion dans le monde de l’intelligence artificielle (IA).
Après une courte introduction sur le projet IDEFICS, qui vise à accompagner les entreprises dans leur transition numérique, nous sommes partis à la découverte de l’IA et des applications possibles pour les entreprises.
Pour poursuivre notre exploration, nous nous sommes focalisés sur deux sujets : l’apprentissage profond et la fouille de données. Deux thématiques spectaculaires de l’IA ayant de forts potentiels d’utilisations concrètes dans le monde de l’entreprise.
Un webinaire avec Giovanni Lamanna et Nadine Neyroud (LAPP), Nicolas Méger, Alexandre Benoit et Patrick Lambert (LISTIC).
En partenariat avec Mont Blanc Industries
Vendredi 15 mai de 12h à 13h
WEBINNOV #1 : Métabolisme urbain et résilience
Métabolisme urbain et résilience : la crise du Covid-19 va-t-elle bousculer notre manière de penser la ville et son organisation ? Quid de nos modèles urbains demain?
Christophe Ménézo, chercheur à l’USMB, livrera son approche lors de ce rendez-vous interactif.